17 décembre 2015

Comme une envie...

D'abandon...

14 décembre 2015

Ainsi Débute Mon Plaisir...


Dans le fond s'il n'y avait que la baise pur et dur en tant que telle, je trouverai ma sexualité bien fade. J'aime la fièvre qui entoure le rendez-vous interdit... Le moment où je m'installe face à mon placard et je m'apitoie sur mon sort jugeant que je n'ai de tenue parfaite... Cette petite robe qui sera me mettre en valeur et  qui tombera facilement, rien de plus désagréable que d'enfiler une tenue et de se battre pour la retirer... La fougue de l'instant peut être rompue.
J'aime également ce moment où face au miroir j'enfile ma lingerie, le moment où j'ajuste le galbe de mes seins dans mon soutien gorge, où j'appose ma culotte sur mes fesses... Je ne sais si c'est ma gourmandise... Mais bien de fois, l'impatience, le fantasme du moment à venir est si fort que je m'adonne au plaisir solitaire... J'aime ressortir dégoulinant mes doigts de ma chatte et les poser sur  ma langue... Jouir avant de le retrouver c'est espérer que mes orgasmes dans ces bras arriveront bien tard...Utopie!
J'aime l'instant où je travaille mon maquillage... Subtil,  léger... Mes yeux et ma bouche sont valorisés... Lorsque je le prend dans ma bouche, j'espère qu'il se souvienne de mes lèvres pulpeuses et de mes yeux gourmands...
Mon parfum... Délicat... Mes bijoux... Très peu...
A mes pieds... Toujours et tout temps... De hauts talons. J'aime les chaussures, un accessoire terriblement érotique à mon sens... Il n'y a qu'admirer la courbe que certains créateurs leur donne pour en être convaincu.
S'en suit les quelques minutes où je fais le trajet pour le rejoindre,  ce moment où nous nous amusons à majorer notre envie... Où, à coup de clichés et de messages sexes, je titille son envie... Si l'on venait à mesurer le taux de phéromones que je disperse à chacun de mes pas, le résultat serait scandaleux... Je baise à chaque pas.

Puis vient  le moment où nous entrons dans la chambre d'hôtel... Lieu que j'aime choisir... Une préférence pour la Rue du débarcadère...Ce lieu est chargé d'histoire, aux cloisons si fins qu'il est possible de laisser entendre son plaisir... Excitant.
Enfin... Lorsque ses mains, sa bouche commencent à me désirer... Lorsque j'entends son souffle grandir, que je sens sa bite grandir... Qu'il me murmure son indécence au creux de l'oreille... Tout est fin prêt. Je jouis.


17 septembre 2015

L'Automne...

Si les corps dénudés excitent plus de monde l'été, moi c'est l'automne et l'hiver où ma libido est au plus haut... Ce temps gris et pluvieux est sujet à tous les fantasmes. J'ai envie d'un rendez-vous . J'ai envie de porter quelques coups à la porte d'une chambre d'hôtel et d'être délicieusement baisée. Sentir son souffle, ses caresses, sa bite gonflée... Baiser sa bouche, caresser sa nuque, ses cheveux, ses fesses.... Lécher sa bite, son scrotum, ses fesses... Et l'entendre... L'entendre m'ordonner d'écarter mes jambes... L'entendre me chuchoter des cochoncetés... Salope! 
Je veux être sa salope d'entre deux rendez-vous. J'en jouis déjà.
Le drame. C'est qu'à priori personne ne m'attends derrière cette porte. 

Je veux bien m'offrir à toi... Et toi, et à toi aussi. 

19 avril 2015

Clin d'oeil...


5 avril 2015

Le Tendre Amant...

Il paraît que les amants qui se voient peu finissent par s'éloigner... Lui le pense. Pas moi. Certainement parce que c'est moi qui manque de temps. Je cours, cours... Tellement que mon corps est épuisé. Ma libido s'est endormie. 
Et pourtant, il me manque. Je l'invite à déjeuner. Montre en main nous n'aurons que deux heures, pas plus. 
J'ai choisi un restaurant, non loin de mon travail que je quitte assez tôt. Le ciel est gris, je porte une petite robe crêpe et il vente énormément sur Paris, je suis tellement fatiguée que j'aimerais pouvoir me reposer, faire une sieste à ses côtés. 
Je change d'avis. Nous irons à l'hôtel. Il est d'accord. Une réservation rapide au Rotary... Et me voilà dans la chambre 4. Je la trouve sombre, peu accueillante, elle est glauque et ressemble à une chambre de putain. D'ordinaire cette pensée m'aurait excitée. Là, non, mon corps est bien trop fatigué. 
Lorsqu'il me rejoins, je me réjouis et me flatte toujours de voir ses yeux pétillants et remplis de désir. Il est beau. 
Nous échangeons un doux baiser.. Puis un long baiser.
Il m'allonge sur le lit, remonte ma robe, je porte un collant. Je m'en porte presque jamais, mais ce matin, cette robe courte laissait entrevoir la limite de mes bas, je trouvais indécent d'offrir ce spectacle à mes collègues. Il sourit, baise mon corps. Je m'abandonne, lui répète que je suis fatiguée. J'ai peur qu'il interprète mal un non frémissement de mon corps. -Chut... Je sais. 
Il baise mes jambes sous le collant.. Mon pubis. Relève et écarte mes jambes puis il embrasse mon sexe couvert. C'est agréable. Je n'avais encore pensé à un rendez-vous où je lui laisserai le soin de réveiller mon corps. C'est agréable, je me sens bien, détendue... Je m'endormirai presque, s'il n'avait eu l'idée de retirer mon collant et ma culotte. En position du tendre amant, il pose sa bouche sur ma chatte. Je sens sa langue parcourir mes lèvres... Les grandes, les petites, il chatouille mon clitoris. Doucement, il suce, me pénètre avec sa langue. C'est bon. Mon souffle s'accélère. Je sens mon corps s'ouvrir. Je me sens offerte. Je garde cette posture sans gesticuler. J'aime sentir se plaisir naître lentement. Sa bite remplace sa langue il la déplace sur mes lèvres... Les grandes, les petites. Il glisse légèrement son gland, quelque millimètres à peine dans ma chatte, sentir mon sexe s'ouvrir est excitant. J'ai envie de lui. J'ai envie qu'il me baise. Qu'il baise ce corps fatigué qui pourtant répond à ses caresses. Pendant deux longues heures, il m'a baisé. J'ai jouis, jouis, jouis.
Et lorsque mes jambes sur ses épaules, sa bite entre mes fesses, j'ai ouvert les yeux et j'ai adoré cet image de lui jouissant!
 Elle ne cesse de hanter mon esprit. Mon corps fatigué le désire encore.

26 mars 2015

Emporte-moi.



7 mars 2015

Foudroyant...


Il pourrait me baiser toutes les heures, des jours durant, mon corps répondrait. Je jouirai. C'est assez impressionnant ce petit quelque chose qu'il a et qui déclenche instantanément un flot impressionnant entre mes jambes. 
Ça m'interroge... Je pourrais me contenter de mon plaisir et ne pas y réfléchir, mais j'ai tendance à vouloir percer le mystère de mon corps.
Pourquoi mon corps réagit-il ainsi avec lui? Je me souviens cette première fois, où j'étais déjà fort désolée de ne pouvoir atteindre l'orgasme... Le plaisir je savais qu'il serait là par contre jouir... Je ne jouis presque jamais les premières fois. Et pourtant j'avais jouis. Encore et encore. Et cela a continué toutes les fois où je l'ai revu. 
Il n'a pas ce sexe lourd et immense que je fantasme à chaque fois que je me caresse, mais bordel, lorsqu'il me caresse avec ses doigts ou que sa langue se perd entre mes jambes, c'est l'explosion... Lorsqu'il me pénètre c'est l'explosion, sa bite me remplie entièrement, j'en devine presque les contours, je la sens au plus profond de moi, elle chatouille, titille mon utérus, qui se contracte, et gonfle telle une verge. Je fais un effort considérable pour profiter quelques instant du plaisir qu'il me procure et de ne pas jouir immédiatement. Un supplice délicieux. Un supplice qui inonde ma chatte et qui s'étale tantôt dans notre lit, tantôt sur sa bite, tantôt sur sa langue...
Le sentir aller et venir dans ce torrent que devient ma chatte, est affolant. Je m'en excite encore plus.
Mon corps cache des mystères que je ne peux moi-même comprendre, est-il que baiser avec lui est un vrai plaisir.